Découvrir notre paroisse

Les prêtres du groupement paroissial

 

Père Guillaume Dupont, curé du Groupement paroissial

01 39 74 79 65

 

 

Père Alex Wilfried Koukpode, prêtre vicaire

01 39 74 79 65

 


 

Le père Alain Biniakounou a quitté le groupement le 31 juillet 2023 : il a été rappelé au Congo par son évêque après 16 années passées en France en tant que prêtre Fidei Donum, dont 13 dans nos paroisses de Carrières et Chanteloup. Vous prendrez de ses nouvelles en lisant le message qu’il nous a adressé.

 

 

 

 

Le père Philippe Potier a quitté le groupement le 31 juillet 2022 : après 8 ans de ministère au sein du groupement paroissial, il est au service de la paroisse de Trappes tout en continuant sa mission de délégué diocésain à la vie consacrée.

 

 

 

Père André

 

Le Père André Honoré a quitté le groupement le 30 juin 2019 : après 9 ans de ministère au sein du groupement paroissial dont il était natif, il a décidé de devenir résident dans la maison des Petites Sœurs des Pauvres de Versailles et a accepté d’en être aussi l’aumônier. Si vous souhaitez rendre visite à père André, lui écrire ou lui téléphoner :
Père André Honoré chez les Petites Sœurs des Pauvres
9 avenue du Maréchal Franchet d’Espérey – 78000 VERSAILLES Tél. : 06 33 91 00 93

 

 

Les pères Guillaume DUPONT et Alex Wilfried KOUPODE peuvent vous rencontrer

line-CSP à Carrières-sous-Poissy

557 Grande-Rue
78955 CARRIERES-SOUS-POISSY
Tél : 01 39 74 79 65

line-CLV à Chanteloup-les-Vignes

20 Avenue de Poissy
78570 CHANTELOUP-LES-VIGNES
Tél : 01 39 74 65 22

Permanences des prêtres : voir le dépliant Infos Pratiques


La communauté des sœurs de CIMKO

Suite au souhait de Mgr Aumonier d’appeler de nouvelles congrégations féminines dans le diocèse des Yvelines, le groupement paroissial a le plaisir d’accueillir les sœurs du Cœur Immaculé de la Bienheureuse Vierge Marie de Kongolo (CIMKO), originaires de la République Démocratique du Congo. Trois religieuses résident à Carrières-sous-Poissy.

Les sœurs de CIMKO sont une congrégation de vie religieuse apostolique installée au Congo (RDC), en Italie et en France : auprès des Apprentis d’Auteuil à Paris, au Château des Vaux dans le diocèse de Chartres et dans notre groupement paroissial où elles vivent en communauté fraternelle depuis 2018 et mènent une vie de prière.

Sœur Cécile (responsable de la communauté dans notre groupement paroissial), sœur Blandine et sœur Marie-Louise se sont investies localement pour compléter les équipes de laïcs déjà en place : dans la pastorale de la famille, de l’enfance (ACE, aide aux devoirs…) et de la jeunesse (aumônerie scolaire, groupes de confirmands, équipe de jeunes pros ou d’étudiants…). Elles se sont aussi engagées dans la préparation des adultes aux sacrements de l’initiation chrétienne et rendent visite à domicile aux personnes malades.                                                                                       Lire le témoignage dans l’Arc-en-Ciel d’octobre 2021

Fin 2022, sœur Blandine et sœur Marie-Louise sont reparties en RDC : sœur Félicité (à droite sur la photo) a remplacé sœur Marie-Louise partie créer une nouvelle communauté. La remplaçante de sœur Blandine, sœur Astrid (au centre) est arrivée quelques jours avant Noël.

Faire le bien partout et en tout en comptant sur la grâce de Dieu

Communauté des sœurs de CIMKO
347 rue Saint Honoré
78955 Carrières-sous-Poissy
Tel : 07 66 35 88 46
mail : cimkordc@gmail.com

Nous sommes là pour vous. N’hésitez pas à venir pour échanger et partager car nous sommes tous des signes d’espérance pour la mission ecclésiale, chacun selon sa vocation. Vous serez les bienvenus dans la simplicité, l’accueil et la joie conformément à la devise de notre congrégation : Partout, faire le bien.

 


L’Équipe d’Animation Paroissiale (EAP)

L’EAP a la mission de collaborer à l’action pastorale notamment la mise en place de nos 4 axes pastoraux qui sont en 2024 : la Parole de Dieu, les jeunes, l’accueil et les célébrations. Elle se réunit tous les 15 jours autour de nos deux prêtres

  • Blandine David
  • Judicaël Demonchy
  • Lucile Lascary
  • Soeur Cécile Malizambo
  • Job Moutairou
  • Amélia Nogueira
  • Laurent Rodier
  • Angéla Soares

Le Conseil Pastoral des Jeunes (CPJ)

 

Accompagné par le père Guillaume, le CPJ est composé de six jeunes et d’un animateur de chaque paroisse. Il a pour but de responsabiliser les jeunes, de les mettre au service du groupement et d’organiser des temps forts de jeunes.

 


 

 Les lieux de culte

Les 3 églises du groupement paroissial sont ouvertes tous les jours de 9h à 19h pour que chacun puisse venir y prier à son heure (cependant, l’oratoire de l’église Saint-Louis est fermé le week-end l’hiver). Vous pouvez également consulter les  horaires de messes

Église Saint-Joseph de Carrières-sous-Poissy (Grande-Rue)

Pendant des siècles, Carrières a appartenu à la paroisse de Triel. Les Carriérois devaient donc se rendre à l’église Saint-Martin de Triel, placée sous l’autorité de l’évêque de Rouen, pour toutes les cérémonies religieuses : messes dominicales, baptêmes, mariages, sépultures. Ils empruntaient pour cela le chemin des Trépassés qui débutait au Larry et à l’actuelle rue Champfleury.

Au milieu du XVIIe siècle, ils émirent le souhait de disposer d’une chapelle et d’un vicaire résident, comme c’était déjà le cas pour Chanteloup depuis le début du XVIe siècle. Le projet fut élaboré durant les années 1657/1658. Le terrain fut béni en 1659 et la première pierre de la nouvelle église, placée sous la protection de saint Joseph et de l’Ange Gardien, fut  posée en 1660. C’est le 21 septembre 1663 que se déroula la bénédiction officielle par Messire Jean Richard curé de Triel. Le premier vicaire en charge du hameau de Carrières se nommait Anquetil.  Dès 1660, on commença à inhumer les Carriérois dans le petit cimetière attenant à l’église.

Par la suite, l’église Saint-Joseph connut différentes modifications : le clocher en 1670, le faux plafond en 1764-1765, l’actuelle sacristie en 1781, la chapelle des fonts baptismaux (actuelle chapelle de la Sainte-Vierge) en 1784. En 1852, les fonts baptismaux furent installés dans le porche ; en 1856, les bancs du chœur furent remplacés par les stalles actuelles, en 1867 furent fabriqués les bancs actuels. Le confessionnal et le banc d’œuvre datent du XVIIIe siècle ; la chaire, quant à elle, date du XVe siècle, elle a été donnée à l’église de Carrières par la supérieure du prieuré royal de Poissy.

À partir de 1833, le cimetière Saint-Joseph, devenu trop petit, fut progressivement remplacé par le cimetière de l’Arpent du Prieur.

En 1911, le porche fut rétréci pour permettre le passage du chemin de fer dans la Grande Rue (la ligne C.G.B. Poissy-Pontoise). En 1937, le Père Augustin fit remplacer la vieille cloche par trois cloches qui sonnent encore aujourd’hui. Les vitraux eurent à souffrir des guerres… Ils furent détruits par des bombardements durant la Guerre 14-18 puis durant la Guerre 39-45 et progressivement remplacés à partir de 1955 ; ceux du chœur représentent le banquet d’Emmaüs et la crucifixion, vitraux réalisés dans les années 1950 sur les cartons du peintre François Bertrand. Trois des quatre baies de la nef ont été réalisées plus récemment par un verrier local, Bruno Croibier. Elles illustrent les thèmes de la Nativité, de la Pentecôte et de la Résurrection. Le quatrième vitrail représente le baptême du Christ et a été posé en 2018. L’église connut également deux rénovations importantes en 1955 et en 2010.

À Pâques 2019, le chemin de croix de l’église Saint-Joseph s’est enrichi de 14 nouveaux médaillons offerts par Maximo. Notre ébéniste avait déjà  façonné les statues de saint Joseph et saint Louis dans les deux églises du même nom. À l’origine, c’est une noix en provenance du jardin paternel au Portugal qui s’est épanouie et a fait un bel arbre à Carrières. À la mort de celui-ci, Maximo a débité 14 rondelles de 4 centimètres d’épaisseur qu’il a travaillées d’une seule pièce au ciseau et au cutter. Au total, ce sont plus de 150 heures de travail qui embellissent notre église.

 

Le presbytère est situé devant la place de l’Église, dans la « Grande Maison » bâtie en 1651 par Messire Louis de Goulard, « chevalier, officier des Mousquetaires de la garde du roi, maître d’hôtel ordinaire de sa Majesté, gouverneur de Saint-Denis en France, seigneur de Saint-Blaise en partie » qui fut un des donateurs lors de la construction de l’église Saint-Joseph.

L’organisation de la paroisse connut également des modifications. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, 26 vicaires se succèdent à Carrières. En 1801 est signé le Concordat entre la France et le Saint-Siège. Carrières-sous-Poissy se sépare alors de Triel et devient une paroisse du nouveau diocèse de Versailles. Le premier curé, Jean-Pierre BRIOT, est nommé en 1802. 23 curés se succèdent de 1802 à 2010, date à laquelle les paroisses de Carrières-sous-Poissy et de Chanteloup-les-Vignes se rassemblent au sein du groupement que nous connaissons aujourd’hui et dont le père Alain BINIAKOUNOU est le premier curé.

En octobre 2013, la paroisse a fêté les 350 ans de la bénédiction de l’église. Toutes les photos de cet anniversaire sont sur le site de Philippe Honoré, historien de Carrières-sous-Poissy.

L’histoire de l’église Saint-Joseph, illustrée par de nombreux documents, et bien d’autres photos ou informations sur la commune peuvent être consultées sur le site « Carrières-sous-Poissy-HISTOIRE » (philgene.free.fr)

 

 Église Saint-Louis de Carrières-sous-Poissy (388 rue de la Chapelle)

saint-louis

L’histoire commence en 1964. Le quartier des Grésillons à Carrières est en plein développement et il ne possède qu’une petite chapelle délabrée. Les parapluies sont indispensables lors des dimanches pluvieux. Un groupe de jeunes chrétiens décide de faire quelque chose : construire une église. C’est la création de l’Association paroissiale dont le but est de mener à bien ce projet.

En 1967, la petite chapelle est démolie et remplacée par un bâtiment provisoire, qui devient vite trop petit. En 1977, un agrandissement en préfabriqué est réalisé (voir les photos). En 1983, il est envisagé de construire une vraie église. En avril 1993, pose de la première pierre en présence de l’architecte Georges Bresard et en janvier 1994, la nouvelle église Saint-Louis est bénite par Mgr Jean-Charles Thomas, évêque de Versailles. Elle a été édifiée à l’emplacement de l’ancienne chapelle dont la chaire a été conservée.

Les Carriérois peuvent être fiers puisque ce sont 30 années de kermesses de l’Association paroissiale (et sa fameuse choucroute !) qui ont permis de réunir les fonds nécessaires au lancement de la construction de l’église Saint-Louis puis au remboursement des emprunts. Cette gratitude envers le président de l’Association sera exprimée en donnant son nom à la place devant l’église : esplanade Guy Bertaud. Le joli baptistère en marbre près de l’autel est un don de la communauté portugaise, très présente à Carrières.

 

Église Saint-Roch de Chanteloup-les-Vignes (34 rue du Général Leclerc)

saint-rochAu XVIe siècle, le hameau de Chantelou (orthographe du Moyen âge) dépendait de la paroisse de Triel et comptait environ 550 habitants, bûcherons et petits vignerons cultivateurs. Ces gens modestes mais religieux, réclamaient le droit de construire leur église et d’avoir un prêtre résident. L’autorisation leur fut donnée sous le règne de François 1er. Et l’église Saint Roch fut bâtie entre 1514 et 1518.

Elle porte le nom de ce saint patron car saint Roch fut, à la fin du XIIIe siècle, un noble bourgeois de Montpellier, fils du gouverneur de la ville. Il abandonna ses biens et partit à Rome en pèlerin. Sur le chemin, il soignait et guérissait les pestiférés. Atteint lui-même de la peste et souffrant à la cuisse d’une horrible plaie, il se retire en ermite dans les bois près de Plaisance. La légende dira même que c’est là qu’un ange venait le consoler et que le chien d’un riche bourgeois de Plaisance (du nom de Gothard) lui apportait du pain et léchait sa plaie ! Gothard sera converti par saint Roch et deviendra ermite lui-même. À la fin du Moyen-Âge, saint Roch est connu pour être celui qui « sauve » de la peste hommes et animaux. Et à une certaine période, d’ailleurs, plus de 40 paroisses du voisinage venaient à Chanteloup en pèlerinage pour des dévotions à l’égard de ce saint guérisseur (le suffixe les-Vignes fut rajouté au nom du village à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe… quand elles disparurent).

L’église Saint-Roch, élevée au milieu du XVIe siècle à la Renaissance, est le témoignage d’un style de transition entre le gothique flamboyant et la Renaissance. Le porche qui s’ouvre sous le rocher est en gothique avec ses bancs de pierre où on pouvait se reposer après des longs chemins de pèlerinage. Ce porche de St-Roch, comme pour les cathédrales, comporte un double portail, deux portes séparées par un trumeau et surmontées d’un tympan. À l’origine, le tout était décoré de statues en bois, une vierge à l’Enfant, sainte Catherine et saint Nicolas (statues malheureusement toutes volées). Les feuilles de vigne rappellent l’activité principale (viticulture) des occupants de la commune à l’époque de l’édification. Les belles proportions de la nef unique, en style gothique selon le goût de ce début de la Renaissance, les deux chapelles latérales (à gauche, celle de saint Vincent patron des vignerons ; à droite, celle de la Vierge) donnent au plan de l’église St-Roch la forme classique d’une croix latine. Près de la porte d’entrée, à gauche, il y a une petite chapelle traditionnellement réservée aux fonts baptismaux.

Le 26 décembre 1999, la flèche de charpente du clocher a été aspirée par la tempête et est retombée sur la toiture de la nef. Un faux aplomb d’un mètre ayant été décelé entre les parties haute et basse du clocher, il a été décidé une reconstruction partielle de celui-ci. Cela a été fait au prix d’une modification importante de son esthétique et d’une réduction de sa hauteur de 32 à 25 mètres. Le nouveau clocher a été inauguré en 2003.

En octobre 2018, l’église Saint-Roch a fêté ses 500 ans en présence de Mgr Éric Aumonier, de Mme le maire Catherine Arenou et d’autres personnalités civiles et religieuses. Une semaine de festivités et une grande exposition ont réuni de nombreux visiteurs. Un livret retraçant l’histoire de l’église Saint-Roch a été publié et peut être consulté au secrétariat de la paroisse de Chanteloup.

En janvier 2020 est inauguré le retable restauré de l’église Saint-Roch : entre les mains expertes des professionnels qui sont intervenus et grâce aux subventions de la municipalité et du Conseil départemental, il a retrouvé sa magnificence et ses couleurs d’origine (XVIIe siècle).

 

 

Chapelle N-D d’Espérance de Chanteloup-les-Vignes (20 avenue de Poissy)

DSC00028
Inaugurée le 15 novembre 1975 par Mgr Simonneaux, (ancien évêque de Versailles de 1967 à 1988), cette chapelle fut construite pour permettre la proximité ecclésiale avec la cité de Chanteloup. Sa réalisation fut portée par l’abbé Lambert.

Le bâtiment abrite lieu de culte, bureau, secrétariat et salles de réunions qui servent aussi pour des moments de convivialité. La chapelle est ouverte aux horaires de permanences, de messes et de temps de prière.

 

 

 

 

 

 

LES GUIDES PRATIQUES

Consultez le dépliant d’information ou téléchargez le guide pratique de notre paroisse

diapo4